Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
Auteur : KARINIA Txt issu des groupes cc détruits par yahoo
C'est vrai qu'hier, je lui ai mal parlé et que j'ai du lui faire répéter plusieurs fois les mêmes choses. J'ai mérité ma punition : il m'a faite déshabiller, m'a attachée les mains et m'a bandée les yeux.
Il a fixé mes mains à la poutre, près du chauffage, et a commencé à me caresser avec sa cravache. Ce bout de cuir caressant ma peau m'a excitée…à chaque seconde, l'idée qu'il pouvait s'en servir pour me faire mal, me rendait encore plus humide…voir trempée : je crois que j'avais tellement l'impression de mouiller, que je pensais que des gouttes allaient glisser le long de ma jambe jusqu'au sol, au point d'en faire une petite flaque que j'aurais pu lécher…
Même lorsqu'il a commencé à me caresser un peu plus fort, à faire rougir la peau de mes fesses et de mon dos, j'étais si excitée que j'aurais tout accepté de lui. Parfois, il me caressait la chatte de sa cravache et me faisait lécher ensuite le bout du cuir délicieusement enrobé de mon plaisir… mmm… je me mettrais à genoux pour qu'il recommence…
Puis il m'a dit de m' habiller. Je l'ai fait. Plus tard, on s'est couché (après lui avoir servi 3 verres de grenadine… j'adore le servir). On a fait l'amour deux fois. C'était si bon que ça conforte encore plus mon désir de soumission, d'obéissance. Ses gestes, ses mots, ses baisers, tout m'excitait…J'aime sa fermeté, sa douceur et sa rudesse, j'aime être l'objet de ses désirs.
Extrait N° 2
Je ne pensais pas le froisser ou le gêner hier en parlant à notre ami Jacques de " punition " et de " sadomasochisme "… Mais je comprends tout de même pourquoi il m'a infligée cette punition.
Quand il m'a faite déshabiller, puis bandée les yeux, attachés mes mains avec des chaînes lourdes et froides à la poutre, je ne pensais pas que c'était pour cette raison […]. Mais c'est une faute que j'ai commise malgré moi…je l'accepte et accepte de ce fait ma punition. Il m'a demandée d'écarter mes jambes, et de pencher mes fesses vers lui de telle sorte que mon dos soit cambré et mes bras tendus au maximum.
J'étais dans une position parfaite pour ce qu'il allait me faire : me cravacher fort, plus fort que d'habitude, sur les cuisses, à l'intérieur des cuisses, dans le bas de mon dos,… c'est à dire à des endroits fragiles, où la cravache brûle délicieusement. Malgré la douleur, je lui faisais entièrement don de mon corps et ma confiance envers lui me rassurait…
J'aime être à lui, être ce qu'il veut de moi, lui donner plaisir à être offerte, à crier de douleur et de plaisir. Sa douceur et sa fermeté mêlées m'excitent. A chaque coup de cravache, l'idée d'avoir mon corps marqué, renforçait encore plus mon désir d'être à lui, de lui obéir et de le rendre heureux. Et l'idée de sa bite dure à chacun de mes cris me donnait envie qu'il me cravache plus encore…
Après cette punition , il m'a offert une séance de fessée délicieuse. La douleur m'a fait couler des larmes, et mon corps a vacillé. De ses bras, il retenait mon corps qui se trémoussait… j'aime l'exciter dans ma soumission. J'aime pleuré malgré moi quand il me fait mal… il m'excite plus encore.
Extrait N° 3
Alors qu’on était bien tranquillement assis sur son canapé, devant la télévision, il m’a faite déshabiller, m’a bandé les yeux et menotté les mains dans le dos. J’ai attendu calmement devant le chauffage, toute nue, pendant quelques minutes. Je le sentais faire des allers et retours près de moi. Il déplaçait de l’air frais, ce qui me faisait frissonner. Puis, il m’a accompagnée près de son lit, m’a faite mettre à genoux, le buste couché sur le bord du lit. Mes genoux étaient sur le tapis et pourtant, il me semblait sentir du tissu, étalé là, comme si il voulait le protéger de quelque chose. Il m’a demandé pourquoi je l’avais obligé à me punir ce soir.
Je lui ai expliqué que je le méritais pour la cigarette que j’avais prise sans sa permission et que je ne voulais pas lui mentir. Cette punition, je le savais, allait être dure car en plus, il m’a expliqué que j’avais, malgré moi, fait la même faute qu’hier . Mon manque d’attention allait être puni… Il a commencé par me fesser très fort, j’ai eu mal, j’en avais le larmes aux yeux mais je me retenais de pleurer car je m’en voulais vraiment de lui avoir désobéis pour une bêtise pareille. Assez vite, il m’a détachée une main pour me menotter devant. Il m’a couché esur le ventre de façon à ce que j’ai le dos plat, et là, j’ai compris ce qu’il allait me faire : je sentais une source de chaleur près de mes fesses, une chaleur autre que celle que me procurait les rougeurs de la fessée. Quand j’ai eu compris, il m’a fait couler de la cire tout au long de mon dos et de mes fesses.
La brûlure était courte mais intense, surtout là où ma peau était déjà irritée. Cette punition m’a fait découvrir la brûlure à la cire. J’ai été surprise de la courte durée de la brûlure […]. Ce que j’ai le plus apprécié, c’est sa façon de m’enlever la cire et de me laver, doucement, comme si j’étais une poupée en porcelaine. Plus j’apprends à le connaître, plus je le trouve très tendre au fond de lui… et cela me met encore plus en confiance… et j’aime qu’il m’ordonne de faire des choses, j’aime porter mon collier, j’aime son autorité sur moi. Dans l’après-midi, il m’a fait venir dans une petite salle que je ne connaissais pas.
Il m’a faite mettre à genoux et m’a demandé de le sucer, … d’ouvrir bien en grand la bouche…et d’avaler son sperme… mmm… j’adore avoir ma bouche en contact avec sa queue dure. Au début, en entrant, je pensais que nous n’étions pas seuls et qu’une troisième personne était dans la pièce. De plus, la peur d’être surprise par des personnes des salles voisines me rendait toute excitée. Nous étions dans le noir mais je pouvais voir son corps. Je ne savais pas ce qu’il y avait autour de moi ni même ce sur quoi j’étais agenouillée. J’ai tout avalé, j’ai léché sa queue pour la nettoyer de tout son sperme car il me l’avait demandé très fermement… comme j’aime quand il me parle sur le ton de l’ordre !!! En sortant, il y avait 3 personnes qui discutaient. Je me suis sentie un peu démunie et j’ai baissée la tête tout au long du couloir en me léchant les lèvres pour être sûre qu’il n’y avait plus de trace de sperme… Je me disais que j’étais sa chienne et que je lui avait obéis sagement, comme il le voulait.
Extrait N° 4
Une semaine que j’attendais cette punition…à la fois avec beaucoup de désir et d’appréhension. Je regrette vraiment du fond de moi-même d’avoir été aussi irrespectueuse et étourdie. Il a été très juste et bon avec moi. Ce qu’il m’a dit et ce qu’il m’a fait, m’a vraiment fait vacillé entre cris de douleurs, cris de jouissance, larmes et étourdissements. J’ai la tête qui tourne quand il m’embrasse, je frissonne quand il me caresse. A 3 reprises, j’ai été réellement au bord de l’évanouissement… soit par les coups de martinet, soit lorsqu’il me tirait les cheveux en arrière, soit lorsqu’il me fessait pendant que je le suçais.
J’aime avoir des larmes de douleur couler sur mes joues. J’aime sentir la cire brûlante sur ma peau irritée par le cuir. J’aime sentir le métal entamer la peau de mes poignets. J’aime sa queue chaude dans ma chatte, et dans ma gorge. J’aime lui obéir même si il est furieux, quand il doit répéter plusieurs fois les mêmes choses… mais je n’aime pas lui faire répéter ses ordres. Je n’aime pas manquer d’attention pour lui… car lui est plein d’attention pour moi. J’aime lorsqu’il me fouette , puis me caresse, puis m’embrasse et recommence.
Il me fait apprécier ma douleur, me donne le temps de réfléchir à mes fautes, à mes marques, aux brûlures, aux picotements, à ma soumission… Il allie plaisir et douleur à la perfection. Il est d’une douceur dans ses gestes… une douceur ferme et dure. J’adore cela. Parfois, je ne sais plus s’il cherche à me donner plus de plaisir à moi ou à lui… ou les deux… Il agit entièrement, voluptueusement. Ce qu’il me dit, parfois me fait pleurer… pour plusieurs raisons : soit parce que je partage son avis quand j’ai fait une faute grave, soit parce que je partage son avis quand il me dit qu’il est divinement bien avec moi et que je lui plait beaucoup. Je suis peut-être douillette, de petite nature ou je ne sais quoi d’autre, mais mes larmes ne peuvent pas être due à un mal à l’aise ou à un manque de confiance quel qu’il soit.
Extrait N° 5
Je me suis donnée toute entière à lui et il m’a comblée de plaisir. Il m’apprend à apprécier la douleur petit à petit, par échelons. Il est ferme et impitoyable pour me punir, il est doux et tendre pour me rassurer. Aussi, je retiens mes larmes car je ne dois pas pleurer. Quand il me punit, je dois rester droite autant que possible, et toujours être en position pour qu’il continue. Je dois lui montrer que je lui donne mon corps sans concession. Parfois, il m’est impossible de ne pas bouger car j’ai trop mal.
Il me faut quelques secondes pour que la douleur s’atténue. Et il est patient ; j’aime ça. Quand je pleure c’est que mon corps réagit. Et c’est dans ces moments là où, comme hier soir, il sait me montrer sa douce présence en s’approchant de moi, son souffle s’emparait de mon corps, comme pour m’envelopper et ses baisers adoucissent mes douleurs. Hier soir, je me suis agréablement surprise de par ma docilité.
Cela m’a beaucoup excitée de me voir autant docile et soumise… au point de sentir couler des gouttes de plaisir le long de mes cuisses. Attachée assez haut par les poignets à la poutre, les jambes écartées par une barre attachée à mes chevilles par des chaînes, je ne trouvais plus ma respiration tant mon buste était étiré. Le s a n g ne circulait plus dans mes mains, l’air n’avait plus la place d’entrer dans mes poumons : j’ai failli m’évanouir à deux reprises. Ces vertiges sont à la fois inquiétants car cela donne la sensation d’un pont vers la mort, mais aussi très excitants car ils vont à la limite de ce que peut supporter mon corps.
Il a usé de son martinet sur toute la surface de mon corps […]. Je pleurais de douleur et mouillait de plaisir. Lorsqu’il m’a prise dans ses bras pour m’allonger sur son lit, je ne sentais plus mon corps et je me sentais tomber. Mais malgré cela, je ne voulais pas que ça s’arrête là. Interrompre cette punition m’aurait donné une liberté que je ne voulais pas avoir. Je voulais qu’il continue à me faire mal, à me faire pleurer, à me donner du plaisir. J’aime faire tout ce qu’il me dit. A sa demande, je l’ai branlé, sucé, caressé jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche et sur mon visage.
Rien de plus excitant dans la fellation que de sentir gicler le sperme sur sa peau et dans sa gorge […]. Ensuite, il m’a enchaîné au lit. J’aime vraiment sentir les chaînes froides et lourdes sur ma peau, l’odeur du métal contre moi, qui me serre poignets et chevilles, j’aime leur bruit quand je bouge. Elles me rappellent ce que je suis : sa chienne. Jusqu’à hier, la cire ne m’avait pas faite pleurer. Il faut dire aussi qu’il a bien pris soin de choisir les parties de mon corps les plus meurtries par le martinet.
Ainsi, la douleur est plus aiguë. Mais la cire est toujours aussi douce et suave. C’est un matériau très délicat : il brûle vite puis se durcit au contact de la peau. A la seconde où la cire goutte sur ma peau et me brûle, elle se refroidit comme pour s’excuser de m’avoir fait mal. C’est pour cela que je la trouve délicate. Plus tard, au moment de m’enlever toutes ces gouttes figées, j’ai cru qu’il me pinçait la peau, doucement, un peu partout…mais en fait, cet agréable sensation était due aux décollements de la cire sur ma peau. Je n’ai rien oublié de cette punition. Tout ce que j’ai ressentit était sain, sincère, et entier. Il m’a fait très mal, il m’a faite pleurer, je me suis vue perdre connaissance, perdre le contrôle de mon corps mais ce qui reste en premier gravé dans mes souvenirs, c’est d’avoir eu énormément de plaisir et de désir à être sa chienne.
Extrait N° 6
Ne pas lui mentir, ne pas lui parler mal, ne pas avoir à lui faire répéter les choses… avant-hier soir, j’ai désobéis à deux de ces règles qu’il m’avait fixé. Il m’a punit comme il le devait. J’étais prévenue, je savais à quoi je m’attendais. Il m’a avertit de la punition qu’il allait m’infliger et surtout il m’a chaudement recommandé de ne plus enfreindre encore une fois l’une de ces règles auquel cas il deviendrait plus sévère. Je suis tout à fait d’accord avec lui sur le fait que mon corps est à lui et qu’il le manipule, l’utilise à sa guise, le fait jouir quand bon lui semble. C’est d’ailleurs pour cela que je suis sa chienne, la première règle étant la confiance et le don de soi […].
Il m’attacha et me demanda de me cambrer, de lui donner mon cul […]. Le martinet me faisait très mal lorsqu’il touchait mes hanches, ma taille et mes cuisses. Je me tortillais dans tous les sens et je frissonnais. Il pris mes fesses dans ses mains et m’enfonça sa queue dans ma chatte, sans oublier de me fesser de temps en temps. J’étais son objet, j’étais sa chienne et ce plaisir là était immense. Puis il me fit mettre à genoux sur un coussin. J’ai léché, sucé sa bite chaude et dure. Il remplissait ma gorge de ce sexe si précieux en continuant de me fouetter avec son martinet. J’étais là dans une véritable position de soumission et d’humiliation. Je ne sais pas vraiment lequel de ces deux sentiments m’excite le plus… peut-être l’humiliation… car ce n’est pas moi qui le contrôle. J’aime définitivement être sa chienne.
Le seul fait de décrire cette punition, fait frissonner et durcir mon clitoris. […] J’étais couchée sur le flan, il me prenait par derrière, me mis à quatre pattes et me pénétra rudement Fessées, coups de queue, morsures, pincements,… c’est comme ça que j’aime me faire prendre. Je m’épanouis, je m’extériorise dans la soumission, la contrainte, le manque -ou la privation- de libertés, l’asservissement de soi.
Extrait N° 7
Une fois déshabillée, il m’a bandé les yeux et attaché les mains à mon collier avec ses menottes. Il a fixé mon collier à une chaîne qui était elle-même attachée à la poutre, au-dessus de ma tête. La punition qu’il s’apprêtait à me donner était plus que justifiée : la veille, j’avais fait 2 fautes graves. La première, je ne l’ai pas contrôlée sur l’instant, mais je me suis rendue compte de mon erreur tout de suite et je l’ai fortement regretté. Pour la seconde faute, c’est bien après l’avoir commise que j’ai réalisé l’ampleur de ma bêtise […]. Il m’avait permis de garder mes porte-jarretelles et mes bas mais le carrelage était si froid que je frissonnais. Je sentais près de moi sa présence, chaude et masculine. Je pensais à sa bite brûlante dans son pantalon. Je pensais à son torse, son cou, ses mains et à ses lèvres…
Il allait me punir, me faire je ne sais quoi et j’en étais excitée d’avance. Je ne savais pas du tout de quoi il était capable pour m’humilier, me faire mal, me faire jouir. Et cette situation d’incertitude me troublait et me rendait impatiente… Quelques minutes auparavant, il m’avait interdit sa bite et m’avait léché, caressé les seins jusqu’à ce que je jouisse par deux fois, en crescendo. D’abord, il m’a regardé les caresser et me donner du plaisir devant lui. Puis, il les as pris dans ses mains, les a pressés, embrassés, mordillés.
C’était la première fois pour moi que j’avais deux orgasmes aussi rapprochés et aussi intense à la fois. Il venait de m’attacher à une chaîne par mon collier comme on attache un animal. J’ai reçu cette punition avec une grande soumission et un grand respect pour mon maître. Il m’a fouetté avec son martinet. Lorsqu’il ne les faisait pas claquer sur mes fesses ou sur mon dos, les lanières de cuir léchaient ma peau délicatement, réveillant mes éraflures qui piquaient. Puis, il m’a détaché. Il m’a faite déplacer dans un espace où je n’avais plus aucuns repères. J’étais à un endroit de la pièce que je n’arrivais pas à déterminer. En fait, j’étais près du lit.. Il m’a mise à genoux, le buste sur le lit, m’a caressé, un peu fessé, léché, en particulier mon anus où il a enfoncé son doigt. Dans ces moments là, je sens que je suis son objet : le fait d’avoir son doigt ou sa bite dans le cul, cela lui donne plus d’emprise sur moi.
Je ressens à la fois de l’humiliation et de la satisfaction d’être à lui. Il a continué à me faire du bien en me faisant du mal. Quand il m’a demandé de me relever, j’ai un peu perdu les pédales : trou de mémoire, sentiment d’avoir rêver qu’il me parlait, certitude qu’il m’avait dit quelque chose… mais quoi ?!!… le buste relevé alors que dans mon dernier souvenir, j’étais couchée. Il m’a répété qu’il me voulait allongée sur le dos. Ce que j’ai rapidement fait. Ensuite, je ne sais plus trop dans quel ordre il m’a détaché les mains, demandé de le sucer, de lui léché les couilles,…Il me disait que je le léchais très bien, que j’étais une belle salope, que j’allais le faire gicler sur tout mon visage… Il m’excitait avec ses mots, avec sa bite dure (enfin je pouvais y toucher !!) […]. Je me caressais la chatte et les seins (tout en continuant à le branler) pour avoir plus de plaisir encore. Il m’éjacula sur le visage et je sentais que son orgasme était intense : j’étais satisfaite de lui donner autant de plaisir. Puis je suis allée me laver et j’avoue que me voir dans la glace couverte de sperme m’a beaucoup plu. J’étais heureuse d’être sa chienne, son jouet, et que c’était comme ça que je lui plaisais : soumise et obéissante…
Extrait N° 8
Je le sais très bien : je ne dois pas fumer plus de deux cigarettes par jour/soirée. Jeudi dernier, au cours d’une soirée dans un bar […], je lui ai supplié une troisième cigarette. Je ne me considère pas comme une accroc au tabac mais il m’en fallait une de plus. Le geste qu’il a fait, en allumer une et me la donner, était inespéré pour moi car je ne pensais pas qu’il me l’accorderai. Je m’en voulais d’avoir été aussi suppliante. Plus tard, j’ai fumé la dernière cigarette du paquet. En la prenant, j’avais conscience de ce qui m’attendais : une belle punition, particulièrement douloureuse étant donné les avertissements que j’avais déjà eu […]. Il m’a fait mettre à genoux, les jambes écartées, cul relevé, le corps penché en avant. Il a relevé ma jupe sur mes fesses et les a caressé. Puis, il a lié mes mains à mon cou en accrochant les menottes à mon collier.
J’ai beaucoup aimé qu’il m’attache ainsi. Il m’a cravachée durement. La douleur de chaque coup était si vive et si longue que je pensais qu’il m’avait lacéré la peau. Mais non ; son coup de cravache est dure mais très précis et mesuré de telle manière qu’il fasse très mal sans laisser de trace. J’ai eu très mal. Quatre cigarettes : quatre coups de cravache. Je lui ai consciemment désobéi. J’assume entièrement ma faute. Je sais que j’ai trop fumé. Il a posé sa cravache près de moi et m’a fessé très fort. Puis, après cela, il m’a détachée les mains, embrassée et baisée comme je le méritais. J’ai vivement ressentit, dans sa punition, un réel sentiment d’inquiétude et de protection vis-à-vis de moi.
Alors qu’il me remettait dans la bonne voie de soumission, je pensais qu’il était tendre de sa part d’être aussi attentif à moi et à mon bien-être : j’aime être corrigée pour mon bien. Je pensais aussi qu’en tant que femme à caractère capricieux et masochiste, il n’y avait pas de meilleure manière pour me faire comprendre ce qu’il voulait de moi.
KARINIA
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